Couverture illustrée d’une image du film The Dividend (USA, 1916) En 1935, paraissait à Londres un curieux ouvrage intitulé The Underworld of the East. Being eighteen years’ actual experiences of the underworlds, drug haunts, and jungles of India, China, and the Malay Archipelago. With plates […]
Mot-clé - Théo Varlet
De l'aventure avec Théo Varlet
LE ROC D’OR, par Théo VARLET. — Plon, éditeur L’action du roman de Théo Varlet, basée sur la lutte épique engagée pour le redressement du franc contre l’assaut des devises étrangères, semble donc emprunter, en quelque sorte, son actualité à la situation tragique de ces dernières années. La livre […]
Lectures d'été : Jerome K. Jerome
S’il reste curieux que l’on s’autorise la révision des traductions de Théo Varlet, notamment lorsqu’il signe Déodat Serval, en contravention du droit moral et en l’absence d’ayant-droit - ou grâce à l’absence d’ayant-droit, il ne reste de disponible que cette édition de Trois Hommes dans un bateau. […]
Le Démon dans l'âme, de Théo Varlet (Renée Dunan, 1923)
Le Démon dans l’âme, par Théo Varlet (Malfère, 7 fr. 50). Théo Varlet en son village méditerranéen écrit sans se se presser des livres classiques. Rien d’urgent ne le pousse à diminuer sa pensée, à faire plat ou à composer menu. Il fouille lourdement et puissamment la matière romanesque de façon à […]
Marcel Millet préface Invectives (1924)
Préface Les hommes d’aujourd’hui sont loin de moi. Je sais que monte une génération féroce, que la leçon de la guerre ignoble fut inutile, je sais que personne ne comprend personne et que tout est bien mort des rêves de l’âge héroïque. Mais la vie court sous les ruines, mais la vie proteste et de […]
Secours à Varlet (1934)
Avant de livrer à la multitude le document où Théo Varlet anticipa son suicide, avant de donner les clés d’Ad Astra, la société des Amis de Théo Varlet, voici un article aussi précis qu’on puisse l’être sur les dernières années de l’écrivain, malade et isolé.
Le Poète astronome (Théo Varlet)
Le poète astronome Etre poète, écrire des mots ailés, des pensées qui planent, cela vous conduit tout naturellement au-delà du champ de gravitation de notre bonne vieille planète. C’est pourquoi Théo Varlet — retenez ce nom car si vous ne le connaissez pas, vous ne devez plus l’oublier — vient de […]
Théo Varlet et le Hachich (André Billy)
Aux paradis du Hachich, suite à Baudelaire, par Théo Varlet (Edgar Malfère). On étonne bien des gens quand on leur dit que le mot assassin vient de hachich, ou plutôt de hachichin, dont il est une corruption populaire. Dans le proche Orient, du moyen âge et de la Renaissance, les massacreurs […]
Autour de Théo Varlet (glanes)
On annonce la mort, à quarante-deux ans, du poète André Jeanroy, auteur de la Flûte de Marsyas et d’un volume sur la Poétique de Théo Varlet. Il était le petit-neveu du Père Félix, le célèbre prédicateur de Notre-Dame. Le Figaro, 23 juin 1931, p. 5 Un grand prix littéraire dont le montant sera de […]
Un Roc d'or sinon rien
Avec M. Théo Varlet et son roman “Le Roc d’or” (2) nous entrons, avec beaucoup d’agrément dans la fantaisie et l’aventure. A la suite d’une tempête épouvantable, une île nouvelle a surgi deans l’Océan. Le phénomène semble si curieux que le gouvernement français demande à un explorateur qui […]
Théo Varlet à la Proue
Certaine annonce relative à Théo Varlet — dont vous saurez tout le moment venu — me pousse à donner ce jour un poème de circonstance de Théo Varlet, publié par Marcel Chabot dans son anthologique publication, La Proue, en 1935. On notera cette étonnante typographie d’un rococo tout roaring […]
Une baleine au Contadour, par Gérard Allibert (à propos de Moby Dick, Lucien Jacques, Jean Giono et Théo Varlet)
Suite à notre billet consacré à la publication par Le Crapouillot de 1931 d'un fragment de Moby Dick traduit par Théo Varlet, Gérard Allibert nous offre ses lumières sur Lucien Jacques, éditeur et graveur "au canif" qui fut tout à la fois le découvreur de Jean Giono, l'éditeur de Varlet et de la toute première édition intégrale de Moby Dick en français.
Théo Varlet et la machine à écrire
Afin de soutenir les efforts dubeaumonde en faveur de la machine à écrire, nous livrons la curieuse préface de Théo Varlet à ses Quatorze sonnets (Lille, Mercure de Flandre, 1926) où le poète donnait en version in-quarto, des poèmes en fac-similé autographes.
Une nuit à l'Hôtel de la Baleine (Varlet traducteur de Melville)
C’est une nouvelle colossale ! Théo VARLET a traduit Moby Dick !
Pour ceux qui savent un peu qui fut Varlet, romancier, poète, critique et traducteur, l’information est aussi brutale que réjouissante. Car Théo Varlet (1878-1938), homme de lettres jusqu’au bout des ongles, fut un être à part.
Grand chemineau, c’est-à-dire voyageur, adepte de la vie à l’air libre et de l’harmonie de l’individu avec le cosmos — et, conséquemment, l’un des tous premiers sectateurs du naturisme — il a laissé des écrits de première nécessité qu’Apollinaire et de nombreux autres surent voir.
La découverte, grâce à Bruno Leclercq, de certaine livraison du Crapouillot (septembre 1931) vient de nous en apprendre une belle : outre ses traductions superbes de Stevenson, de Pearl Buck ou de J. K. Jerome, Théo Varlet s’était donc attelé à la transposition du chef-d’oeuvre de… Melville.
Oui, mes soeurs, mes frères, de Moby Dick !
Passé inaperçu des lecteurs présents de Théo Varlet, un chapitre de Moby Dick résidait là, entre les pages 21 et 35, en attendant qu’on l’y trouve. C’est à peine croyable… Apprendre cela en 2007…
Apparemment prépublié dans le Crapouillot, le roman aurait dû paraître intégralement dans une édition de luxe à la marque des Editions du Bélier.
Rien à faire : nulle trace, nulle part. Il faut croire que la version de Varlet n’a jamais vu le jour en volume. A moins que… (1)
Afin de rendre grâce à Melville et hommage à Théo Varlet nous donnerons ici ce chaprite, en espérant retrouver un jour le manuscrit de la traduction intégrale de Varlet, si elle existe encore…
Note du 5 février 2008 : Une édition de ce fragment sauvé des eaux, enrichi de différents propos, va paraître au cours de l’année 2008 aux éditions Versant Libre. Vous serez bien évidemment prévenus.
(1) La première traduction française connue est la suivante : Le Cachalot blanc, roman américain, traduit par Marguerite Gay. — Paris, Gedalge, 1928, in-16, 256 p. Coll. “Aurore” (n° 13). Les seules précisions physiques laissent entendre que cette traduction n’est pas intégrale.
La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !)
(Michel NEDJAR, crayons noirs divers sur enveloppe, 16 septembre 2001, coll. part.)
Soyez chics avec votre Vous, votre Moi, votre Ça et votre Sur-Ça (sans parler de votre Monte-là-dessus)
Offrez-vous LA LITTERATURE EST MAUVAISE FILLE !
14 nouvelles increvables
Des présentations poilantes
Des bibliographies béton
Une couverture doublée d’un frontispice de Michel NEDJAR ! (ça c’est pas rien !!!)
Bref, pour ne rien vous cacher :
UN LIVRE DE PRESTIGE
équipé d’un sommaire de prestige
(que même l’ambassadeur qui frime avec ses Ferrero en aluminium doré y peut pas se le payer !)
Eric DUSSERT La Littérature est mauvaise fille. Illustration de Michel Nedjar. — Villelongue d’Aude, L’Atelier du Gué, 198 p., 19 €
Pour se le procurer :
Lekti-ecriture.com
Les éditions L’Atelier du Gué
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